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Plongez au cœur d’une expérience sensorielle inoubliable avec le Tai Ping Hou Kui. Ce thé vert chinois d’exception, issu de la récolte d’avril 2023 chez Terre de Chine, est bien plus qu’une boisson. C’est un voyage envoûtant dans l’essence même du thé. Découvrez les secrets jalousement gardés de sa préparation méticuleuse et les subtilités d’un terroir unique via la dégustation du jour. Laissez-vous séduire par ses feuilles longues et fines, offrant une infusion d’une beauté captivante. Chaque gorgée vous transporte dans un monde de saveurs raffinées. Je vous souhaite une très bonne lecture, mais surtout de succombez à la passion du Tai Ping Hou Kui.
Parfum
Le parfum est aussi surprenant que l’aspect visuel. Lorsque j’ouvre la boîte, une sensation de fraîcheur m’envahit. On perçoit clairement la verdeur presque marine de ce thé vert chinois. Le fait qu’il pousse au bord d’un fleuve y est peut-être pour quelque chose. En se concentrant davantage et en fermant les yeux, on découvre des notes plus chaudes, telles que les épices, la vanille ou même l’odeur de l’herbe ou de la paille séchée par le soleil. En résumé, le parfum des feuilles du Tai Ping Hou Kui oscille entre une verdeur marine (végétal iodé) et le parfum d’une forêt de résineux (notes épicées et copeaux de bois).
Visuel
Les feuilles sont impressionnantes et incomparables à celles des autres thés. C’est l’une des particularités les plus saisissantes du Tai Ping Hou Kui, selon moi. Le producteur récolte 2 à 3 « vraies feuilles » bien formées en dessous du bourgeon et veille à les aplatir délicatement afin de préserver les huiles essentielles qui contribuent à leur parfum. Les nuances de vert sont particulièrement captivantes. Certaines feuilles présentent le motif strié du tamis sur lequel elles ont été aplaties. Ce motif (qui est une preuve qu’il ne s’agit pas du meilleur grade) associé à la couleur des feuilles me rappelle la peau écailleuse d’un crocodile.
Parfum
Les feuilles infusées dégagent un parfum puissant et envoûtant. J’y trouve des notes végétales vertes qui s’accompagnent d’un côté marin/iodé. En second plan, je retrouve également des épices, de la vanille et même un aspect floral que les feuilles sèches ne dégagent pas forcément. Sentir ce thé permet d’avoir un réel aperçu de ce que sera la liqueur en bouche, selon moi. À froid, le parfum est moins subtil et évoque clairement l’odeur de l’herbe fraîchement coupée. Cela ne laisse aucun doute quant à la famille de thé à laquelle appartient le Tai Ping Hou Kui.
Visuel
Les feuilles restent sensiblement les mêmes, avec un aspect global plat. Elles sont légèrement plus gonflées et laissent apparaître des nervures rosées/rougeâtres. Leur couleur est légèrement moins éclatante et s’uniformise vers un vert plus clair. Selon mon avis, on peut infuser les feuilles jusqu’à ce qu’elles soient pleinement déployées afin de tirer pleinement profit.
Parfum et couleur
L’odeur de la liqueur ne nous transmet pas grand chose puisqu’elle est assez discrète et minimaliste. On peut percevoir une odeur légèrement vanillée sur un fond végétal mais pas plus selon moi.
En revanche je trouve la couleur de la liqueur saisissante. Elle est d’un vert très clair, un peu comme le vert anis. La liqueur est translucide et d’une brillance éclatante.
Texture
La texture du Tai Ping Hou Kui est très agréable puisqu’elle est assez ronde en bouche. Elle ne présente pas d’aspérité et sert de bon support au profil végétal du thé.
Saveurs
Une saveur plutôt umami, qui rappellerait presque certains thés japonais. Aucune amertume ou acidité ne se détache du thé. Son profil est très équilibré.
Arômes
Les notes de corps de ce thé sont indéniablement liées au végétal et à la verdeur des montagnes de Hou Keng. En effet, le végétal est très présent en bouche, notamment les légumes verts frais. Egalement, il est possible de nuancer avec la présence plus discrète du végétal sec, avec une touche d’herbe séchée. Les notes de tête sont plus marines, ce sont elles qui donnent cette sensation de fraîcheur aquatique plutôt iodée.
L’association de ces deux familles d’arômes propose quelque chose qui tend à ressembler aux thés japonais. Néanmoins, les notes de queue viennent dépasser ce côté vert et iodé du Tai Ping, car elles proposent des arômes plus chauds et plus épicés, notamment avec la vanille. C’est d’ailleurs cette note vanillée qui reste en bouche et qui dialogue avec le côté végétal pendant de longues minutes après avoir fini la tasse.
Le matériel que j’utilise pour la dégustation du thé Tai Ping Hou Kui est le suivant : il comprend une théière en verre d’une contenance d’environ 250 ml, un pot de réserve en verre me permettant de contempler la couleur de la liqueur et d’une tasse dégustation en verre double paroi.
En revanche je vous encourage de le faire infuser dans un grand verre transparent afin d’observer la danse des feuilles qui infusent à la verticale. C’est à la fois beau et reposant.
La température de l’eau est de 75 °C et le temps d’infusion est de 4 minutes. Aussi, il est important de respecter le ratio quantité de thé/quantité d’eau : 5 g pour 200 ml d’eau. Je vous invite à consulter mon article pour savoir comment faire du thé.
Le Tai Ping Hou Kui est considéré comme le roi des thés en Chine depuis le salon international du thé de Chine (2004). Traditionnellement, les plus hautes qualités de ce thé se doivent d’être florales, et dégager un parfum d’orchidée à la dégustation. En 2022, le marché chinois du Tai Ping Hou Kui pèse à lui seul 590 millions de dollars. D’un petit lieu dit au roi des thés, découvrez l’incroyable parcours du Tai Ping Hou Kui.
Selon une légende entourant ce thé, le premier théier offrant le Tai Ping Hou Kui aurait poussé là où le corps du roi singe, tombé malade et décédé, avait été enterré. C’est un fermier qui aurait enterré le corps du roi singe à cet endroit précis. L’année suivante, des théiers auraient commencé à pousser à cet emplacement, et il est dit que ces arbres étaient la transformation même du roi singe en guise de reconnaissance envers le fermier pour son geste bienveillant. Ce fermier a ensuite pris grand soin de ces théiers, récoltant leurs feuilles et les transformant en un thé très reconnaissable. Dès lors, son goût unique et son arôme distinct ont captivé l’attention des villages avoisinants, lui offrant une popularité grandissante et une renommée incontestable.
Au fil du temps, le Tai Ping Hou Kui est devenu l’un des thés les plus prisés en Chine, et son incroyable histoire remonte à l’époque de la dynastie Qing. À cette période, le comté de Taiping, situé dans la province d’Anhui, était l’une des régions les plus fertiles pour la production de thé en forme de pointe.
Au sein de ce comté, un centre du thé a été établi où les producteurs locaux venaient commercer leurs récoltes. À cette époque, les thés en forme de pointe étaient produits avec différentes quantités de feuilles, souvent en privilégiant les feuilles matures. Cependant, certains fermiers ont commencé à adopter une approche différente en sélectionnant les feuilles fraîches contenant uniquement un bourgeon avec 1 à 2 feuilles parmi les produits finis. Ces feuilles sélectionnées étaient hautement appréciées et pouvaient être vendues à un prix bien plus élevé.
C’est dans ce contexte que Wang Kui-Cheng, un fermier visionnaire, prit une décision audacieuse. Il décida de produire son thé en utilisant exclusivement des feuilles fraîches contenant un bourgeon avec 1 à 2 feuilles, plutôt que de sélectionner les feuilles sèches après le processus de transformation. Cette approche novatrice fut couronnée de succès, et le thé qu’il produisit fut largement acclamé et recherché par les connaisseurs.
En raison de la qualité exceptionnelle de son thé et de son propre nom, Kui-Cheng, il était tout naturel de baptiser cette création remarquable « Tai Ping Hou Kui ». De plus, il convient de noter que ce thé était produit dans la région de Hou-keng (Village du singe), renforçant ainsi l’origine et le lien étroit avec son nom.
Ainsi, l’histoire du Tai Ping Hou Kui est marquée par l’innovation, la vision et le talent de Wang Kui-Cheng. Sa décision de privilégier des feuilles fraîches et de créer un thé d’une qualité supérieure a contribué à sa renommée et à sa reconnaissance internationale. Cette histoire fascinante, combinée à la méthode de production unique et à la réputation exceptionnelle du Tai Ping Hou Kui, en fait un trésor précieux de la culture du thé chinois.
Au fil du temps, le Tai Ping Hou Kui est devenu l’un des thés les plus prisés en Chine. Sa renommée s’est accrue grâce à sa participation à différentes expositions et foires commerciales.
Sa réputation continue de s’étendre, et les amateurs de thé du monde entier reconnaissent sa qualité exceptionnelle et son héritage historique remarquable.
Les montagnes Huangshan, situées au sud-est dans la province d’Anhui, sont célèbres pour leur contribution à la production de thés de renommée mondiale. Ce terroir est caractérisé par son microclimat unique, ses sols fertiles et son environnement naturel préservé, ce qui en fait un lieu idéal pour la culture du thé.
Les montagnes Huangshan offrent un paysage montagneux spectaculaire avec des pics escarpés, des vallées profondes et une végétation luxuriante. Les théiers poussent en terrasses sur les flancs des montagnes, bénéficiant d’une exposition solaire adéquate et d’un drainage naturel. Les altitudes élevées, allant de 800 à 1 200 mètres, créent des variations de température et des écarts entre le jour et la nuit, favorisant ainsi le développement des saveurs complexes dans les feuilles de thé.
Le climat dans la région des montagnes Huangshan est caractérisé par des étés chauds et humides et des hivers froids et brumeux. Les brouillards fréquents, résultant de l’humidité élevée et des changements rapides de température, jouent un rôle crucial dans la culture du thé. Ces brouillards protègent les feuilles de thé des rayons du soleil, favorisent une croissance lente et régulière, et contribuent à la douceur et à l’arôme délicat des thés produits dans la région.
Le sol des montagnes Huangshan est principalement composé de granite, riche en minéraux tels que le potassium, le magnésium et le phosphore. Les théiers absorbent ces minéraux du sol, ce qui se reflète dans la qualité et la saveur des thés produits. Les minéraux contribuent à la complexité des arômes et à la douceur des infusions, offrant une expérience gustative unique.
Les jardins de thé sont dispersés dans la région montagneuse. La forêt primitive actuelle est riche en sols décomposés et fournit constamment des minéraux pour assurer une croissance exubérante des plants de thé de manière naturelle.
Le Shi da est un cultivar rare et précieux, issu de théiers sauvages qui ont résisté à l’épreuve du temps. Il est considéré comme un cultivar ancien et indigène de la région. Les feuilles de Shi da sont généralement plus grandes et plus épaisses que celles des autres cultivars. Elles ont une forme légèrement incurvée et une texture plus robuste. Chouchoutées par les éléments naturels et les sols riches de la région, ces feuilles dégagent un arôme frais et végétal enivrant, révélant des notes florales délicates qui ravissent les sens.
La culture du Shi da exige une attention minutieuse, car ces théiers sauvages sont plus sensibles aux variations climatiques et aux maladies. Les artisans passionnés qui maîtrisent l’art de sa culture et de sa transformation préservent ainsi sa qualité remarquable. Les feuilles, cueillies avec soin, sont ensuite méticuleusement transformées pour révéler toute leur beauté et leur saveur unique.
On dit que la meilleure période pour récolter les feuilles de thé de la plus haute qualité pour le Tai Ping Hou kui est de seulement 14 jours au total dans l’année, entre la Pluie des grains et le début de l’été.
La cueillette manuelle des feuilles de thé pour ce thé se fait le matin et suit des critères stricts basés sur la sélection de montagnes de haute altitude (ombragées, fertiles, où les théiers sont face nord), et sur la vigorosité et la robustesse des branches du théier.
Sachez cependant qu’il y a deux autres facteurs qui influencent majoritairement le profil organoleptique d’un Tai Ping Hou Kui ! Tout d’abord, le cultivar, un véritable Tai Ping Hou Kui n’est produit qu’à partir du cultivar Shi da comme je l’ai mentionné. Ensuite, sachez que le temps de flétrissage impacte de manière significative le profil organoleptique de ce thé. Il a été prouvé qu’un flétrissage de 6 à 8 heures permet d’obtenir un Tai Ping Hou Kui digne de ce nom, c’est-à-dire avec un parfum d’orchidée.
Mais plutôt que des mots je voulais partager avec vous cette très belle vidéo illustrant la fabrication du Tai Ping Hou Kui de sa récolte à son infusion. La vidéo est en chinois, mais elle sous-titrée en anglais. Les images se suffisent à elles-mêmes pour comprendre le processus de fabrication.
Il existe des grades selon les techniques de fabrication des Tai Ping Hou Kui de la cueillette à la transformation de la feuille. Généralement ces techniques de fabrication portent en elle-même la marque de la qualité du thé. Si bien qu’il n’existe pas de gradation similaire à celle des autres thés plus « classique ».
Lors de la fabrication du Tai Ping Hou Kui Nie Jian, les artisans utilisent leurs mains habiles pour façonner les feuilles de manière spécifique. Ils appliquent des techniques de manipulation précises, telles que le pliage et l’aplatissement des feuilles, pour créer la forme caractéristique du thé. Cette méthode artisanale permet de préserver l’intégrité des feuilles tout en développant leurs arômes et saveurs uniques.
Le processus de fabrication du Tai Ping Hou Kui Nie Jian exige une grande dextérité et expertise de la part des artisans. Chaque feuille est manipulée individuellement, assurant ainsi une attention méticuleuse aux détails. Cette approche artisanale contribue à la création d’un thé de qualité supérieure, avec des feuilles délicatement travaillées à la main.
Le Tai Ping Hou Kui Gu Fa est une variante spéciale du Tai Ping Hou Kui qui se distingue par sa méthode de fabrication traditionnelle et artisanale appelée « Gu Fa », ce qui signifie « technique ancienne » en chinois. Cette méthode de transformation utilise des techniques anciennes qui remontent à plusieurs décennies.
Le processus de fabrication du Tai Ping Hou Kui Gu Fa implique une attention méticuleuse aux détails. Les feuilles fraîchement cueillies sont soigneusement fixées pour arrêter l’oxydation, puis elles sont façonnées à la main en utilisant une technique de pressage délicate. Cette méthode de façonnage donne aux feuilles une apparence plate et régulière, avec des lignes caractéristiques qui se croisent, créant un motif distinctif.
J’ai envie de dire que derrière chaque Gu Fa Tai Ping Hou Kui se cache un Nie Jian Tai Ping Hou Kui.
Dans ce cas-là, le Tai Pin Hou Kui aura été fabriqué partiellement ou de manière totalement mécanique. Évidement la machine n’a ni la délicatesse d’une main humaine ni même son expertise. Qui saurait mieux que le maitre de thé, quoi faire de ses feuilles et surtout à quel moment le faire ?
Sachez également une chose c’est que seuls trois villages dans le monde produisent le véritable, tout du moins l’original, Tai Ping Hou Kui. Il s’agit des villages Hou Keng (Vallée du singe), Hou Cun (Village du singe) et Yan Jia (Famille Yan). Ces trois villages se situent non loin de la ville d’Huangshan. Le village Hou Keng est le lieu d’origine où a été créé le Tai Ping Hou Kui, il se situe au nord de la ville d’Huangshan, au cœur des montagnes.
Le Tai Ping Hou Kui authentique se caractérise par des feuilles charnues, épaisses, droites et pointues, sans être lâches, enroulées ou courbées. Chaque brindille du véritable Tai Ping Hou Kui comprend un bourgeon entouré de deux feuilles. Les thés de qualité inférieure peuvent contenir une seule feuille sans bourgeon, appelée Hou-jian. Les feuilles de qualité inférieure sont souvent trop pressées et tordues, ce qui affecte leur forme et leur apparence normale. D’ailleurs, les meilleurs grades de Tai Ping Hou Kui ne présentent aucune trace de tamis (ce que j’ai appelé la peau de crocodile pendant la dégustation)
Le véritable Tai Ping Hou Kui est de couleur vert profond, uniforme et brillante. Les feuilles sont recouvertes d’un fin duvet blanc, bien fixé et caché, qui se déploie lors de l’infusion. Le thé de qualité inférieure est d’une couleur vert très clair ou foncée, avec beaucoup de duvet visible.
Le thé de bonne qualité se présente sous la forme de feuilles sèches régulières, tandis que le thé de qualité inférieure contient de nombreux morceaux cassés. Ce dernier est un mélange de différentes tailles et formes, avec des feuilles écrasées et individuelles au lieu d’être attachées à une tige complète avec bourgeon et feuille. Sa couleur est un mélange de vert jaunâtre ou vert foncé.
Globalement, le Tai Ping Hou Kui authentique offre une expérience aromatique et gustative exceptionnelle. Lors de l’infusion, il dégage un parfum délicat d’orchidée, qui persiste tout au long de la dégustation. En effet les plus grands Tai Ping Hou Kui dégagent des parfums de Cymbidium Faberi Rolfe (prouvé scientifiquement). Sa liqueur est lumineuse, claire et d’une légère teinte vert jaunâtre. En bouche, on découvre des notes fraîches et végétales, procurant une sensation rafraîchissante et une texture douce et lisse.
Le goût est équilibré, avec une douceur subtile qui persiste agréablement. Les feuilles infusées se révèlent d’un vert vif et uniforme, épaisses mais souples et élastiques au toucher. On peut également remarquer une fine ligne rouge le long de la veine principale des feuilles, signe de l’utilisation de la véritable variété de Tai Ping Hou Kui. En revanche, les thés de qualité inférieure présentent une couleur plus terne, des feuilles minces et rigides, et un goût moins prononcé.
En conclusion, le Tai Ping Hou Kui est bien plus qu’un simple thé vert. C’est un héritage vivant, une incarnation du savoir faire chinois. Son incroyable histoire remonte à des décennies, et chaque tasse de ce précieux breuvage raconte une partie d’un récit fascinant.
Des origines légendaires du singe roi à sa transformation en un thé d’exception par un fermier audacieux, le Tai Ping Hou Kui incarne le pouvoir de la nature et de la générosité humaine. Je vous dis bon voyage ! A très vite dans les montagnes de la province d’Anhui, où les feuilles de théier Shi da, cultivées avec soin, captent l’essence de cette terre fertile.
Tags : Chine, Cultivar, Grand cru, Terre de Chine, Thé Vert
Catégories : Dégustation de thé
Diplômé d’un Master en Business International et après deux ans passés chez CANAL+, j’ai décidé de consacrer davantage de temps à mes passions. Au quotidien beaucoup de choses me font vibrer, la lecture, mes proches, la musique et évidement le thé. Le thé est pour moi un art de vivre et permet de mieux percevoir le monde qui nous entoure. Je me sens plus sage quand je prends le temps de déguster une tasse de thé. Fort de tout ce qui m’anime j’ai donc décidé de créer Secret de Thés — Le Blog. À ce jour j’en suis le créateur et le principal auteur.
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